Le soleil fendille la terre, Aucun bruit ne trouble les champs ; On n'entend plus les joyeux chants Des oiseaux qui chantaient naguère. Tous par la chaleur assoupis Sous les buissons se sont tapis. Seule une cigale est sur l'aire. Son ventre sonore se meut ; Sur une gerbe elle est posée ; Seule elle n'est point épuisée Par l'astre à l'haleine de feu. Et la chanteuse infatigable Jette dans l'air brûlant et bleu Sa ritournelle interminable.
dimanche 28 juin 2009
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Coucou Titine♥♥♥♥♥♥♥♥
RépondreSupprimerUne petite visite pour t'y déposer de gros bisous
Bonne fin de journée.
Gros bisous
A+